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Jean-François est fier de sa collaboration avec Rivalis


Jean François est dirigeant d’une entreprise spécialisée dans le terrassement funéraire en Saône-et-Loire. Il est accompagné par sa Conseillère, Nathalie Grandjean depuis juin 2016.


Son entreprise était en difficulté, notamment à cause de problèmes de trésorerie et de marge qui l’ont conduit à un découvert assez important. Sa banquière, inquiète, lui a conseillé de trouver une solution au plus vite, en contactant Rivalis pour l'aider à mieux gérer son entreprise.

Jean-François décide alors de collaborer avec sa Conseillère, en qui il a eu confiance dès le départ.


Nathalie et son client, Jean-François

« On m'a tendu la main et je l'ai prise au bon moment ».

Nathalie et Jean-François ont travaillé sur la trésorerie, la gestion de l'entreprise et décident alors de placer l'entreprise en redressement judiciaire afin de la sauver.

La mise en place d'un échéancier avec ses fournisseurs et la revalorisation de ses marges, ont permis à Jean-François d’augmenter sa rentabilité.


Le quotidien de Jean-François s'est vu changer : aussi bien moralement que physiquement.


« Quand une deuxième épaule vous aide, vous ne pouvez qu’aller de l'avant. »


Après un an et demi de travail en commun, l'entreprise sort du redressement judiciaire. Il n'y a plus de découvert, Jean-François peut enfin profiter d'une meilleure trésorerie, et ses marges sont bien meilleures.

Avec un plan de continuation mis en place par Nathalie, il a pu augmenter son bénéfice de 40 000 € et il va pouvoir le dépasser de 10/20 000 € l'année prochaine. Son avenir est bien plus serein et il a même un nouveau projet : racheter une entreprise.


« La collaboration que j'ai eue avec Rivalis, aujourd'hui, j'en suis fier ! »



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Transcription écrite du témoignage :

Jean-François : Je m’appelle Jean-François. Je me suis spécialisé dans le terrassement funéraire. Rivalis, c’était pour m’aider à piloter mon entreprise. Et c’est ce qui m’a énormément aidé. J’ai connu mon conseillé grâce à ma banquière qui m’a dit : « il faut trouver une solution ». J’ai eu envie de collaborer avec Rivalis parce que j’ai eu confiance. Dès le départ, j’ai vu qu’on me tendait la main, j’ai su la prendre au bon moment. Lors du premier rendez-vous c’était très simple, c’était une confiance qui s’est instaurée. Et on sentait un encouragement à aller de l’avant.

Nathalie : Bonjour je m’appelle Nathalie Grandjean. Je suis conseillère en pilotage d’entreprise chez Rivalis. Le problème de Jean-François, lorsqu’il m’a appelée, c’est qu’il avait un gros souci au niveau de sa banque. Son entreprise était en difficulté. Il avait une trésorerie très difficile. Il avait un gros problème de marges. Il avait un découvert qui était assez important. De ce fait on a travaillé sur sa trésorerie, son problème de gestion d’entreprise. Et puis au bout de deux mois, on a décidé de le remettre en redressement judiciaire. Les actions qu’on avait mises en place, on s’est aperçu que c’était un problème client qui représentait à peu près, je dirai 70 % de son chiffre d’affaires. Et puis aussi, on a essayé de faire des échéanciers au niveau des fournisseurs. On a regardé aussi ses marges pour savoir ce que si on facturait était bien rentable.

Jean-François : Le quotidien était complètement changé, déjà moralement, physiquement parce que quand vous avez une deuxième épaule qui vous aide, vous pouvez qu’aller de l’avant. On a eu une complicité qui était formidable pour le travail en commun. Ces actions étaient fortes, vu les capacités qu’elle avait et ses connaissances, on a pu marcher en parallèle, et pour aller de l’avant pour justement sauver l’entreprise.

Nathalie : Jean-François, depuis, on a travaillé plus de 1 an et demi ensemble. Il est sorti de son redressement judiciaire. Il a un plan de continuation. Les résultats, obtenus, la trésorerie, maintenant il n’est plus à découvert, il est positif. Les marges sont bien meilleures. Il avait un bénéfice de moins 50000. On est passé à moins 10000. Et on pense que l’année prochaine, il passera à plus 20, plus 10. L’avenir est beaucoup plus serein. Je vois que Jean-François s’en sort beaucoup mieux. Et puis même, il a beaucoup de projets. Un gros projet en ce moment qui est de racheter une entreprise. Je vais continuer à l’accompagner sur les deux sociétés.

Jean-François : La collaboration que j’ai eu avec Rivalis aujourd’hui, j’en suis fier parce que je suis passé dans une situation qui était très difficile, voire catastrophique. Et grâce à cette personne-là aujourd’hui, je suis fier d’être sorti de la brèche. Nathalie est une femme qui sait respecter les gens et qui donne l’envie de se battre. Mon rêve aujourd’hui c’est de vivre de mon travail et avoir une belle reconnaissance de ce que j’ai fait. Etre reconnu dans une qualité de travail, non seulement mais avec celle qui m’a piloté.



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